Collectif havrais d'Objecteurs de Croissance (ChOC)
Une croissance illimitée dans un monde limité est une absurdité


Politiques et Elections

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Cantonales 2011



Notre candidatE est la Décroissance

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Pour une transition démocratique vers des sociétés soutenables et surtout souhaitables de Décroissance.

La société de croissance accumule dramatiquement toutes les crises : économique, environnementale, sociale, culturelle et politique. L’absurdité de ce modèle de société n’est malheureusement plus à démontrer tant les inégalités sont devenues flagrantes, le mal-être de plus en plus insoutenable et les catastrophes industrielles, sociales et/ou naturelles, presque quotidiennes. Il est aujourd’hui grand temps de construire ensemble une transition démocratique vers des sociétés soutenables et surtout souhaitables de Décroissance.

Il s’agit de mieux partager le gâteau, de limiter sa taille, mais aussi de lui donner un meilleur goût !

C’est pourquoi, nous, Collectif Décroissance 2012, proposons de participer aux élections présidentielles, rendez-vous politique majeur de notre démocratie malade, afin :.


Langue de bois. Un rapport avec l'article ci-dessous ?
1 juin 2010


Compte-rendus de l'Assemblée Générale de l'AdOC d'avril 2010
1 mai 2010

le Week-End a été intense. Les deux parties qui ne s'entendaient plus ne sont plus du collège. Une nouvelle équipe inexpérimentée va tenter de structurer l'AdOC.... Aucun statut n'a été voté, dans un non-joyeux bordel. L'AdOC est publiquement en sommeil le temps qu'elle s'organise et trouve réellement à quoi elle sert. On avance quand même.

Conte de Noël par Raoul Anvélaut
Journal "La Décroissance" n°65, décembre 2009

Vers 2010, alors que la société touchait les limites des ressources naturelles, une foultitude de mouvements politiques microcosmiques se créèrent pour tenter de porter les thèses de la décroissance. Trente ans plus tôt, le parti Les Verts avait bien apparu sur la scène électorale mais il dégénérera rapidement en parti de petits apparatchiks du développement durable bradant l'écologie à des fins carriéristes.

En 2006, se créa alors le Parti pour la décroissance (PPLD). Après des débuts difficiles, il se fondit avec le Mouvement des objecteurs de croissance (MOC) pour créer l'Association des objecteurs de croissance (ADOC). Et des plaisantins firent remarquer que « mille milliards de mille sabords! L'Adoc se moque finalement du politique ».

Pour pallier ce renoncement au politique, se créa le Parti des objecteurs de croissance, le POC. D'après des opposants rieurs, le POC ferait rapidement pschitt. Ce fut malheureusement le cas. Des régionalistes créèrent alors le Front régionaliste des objecteurs de croissance (FROC). Son premier communiqué fut pour clamer que « le FROC ne baissera pas son pantalon devant la LOC ». En effet, venait de se monter la Ligue des objecteurs de croissance, penchant dangereusement vers des idées plus nationalistes. La LOC s'affaissa d'ailleurs rapidement au profit du COC, Comité pour l'objection de croissance, d'obédience communiste. Ses détracteurs dirent méchamment que le COC était reconnaissable pour être de l'espèce de ceux qui chantent les deux pieds dans la m... Se monta alors le Front de libération des objecteurs de croissance. Plus violent. Il fit immédiatement un FLOC.

Une tentative d'union entre la LOC, le COC, le FROC, le POC, le MOC, le FLOC et l'ADOC tenta bien d'émerger, mais elle s'écroula bien vite car elle était en... toc.


Plate-forme de convergence proposée par l’AdOC

De l'Assemblée constitutive de Beaugency, le samedi 19 septembre, est sortie une proposition de Plate-forme de convergence

Son objectif est de rassembler toutes les associations, alternatives, et luttes qui se rendent compte que leurs actions seules ne suffisent pas car s'inscrivant dans une problématique plus large qu'est la Décroissance

Télécharger la Plate-forme de convergence de l'AdOC

* * *

Face à une crise multidimensionnelle, nous opposons la radicalité et la cohérence de l'objection de croissance.
Après la campagne Europe-Décroissance, première expérience de campagne politique nationale autour des idées de la Décroissance, pourquoi ne pas avoir l'audace de continuer cette aventure d'un mouvement politique dont les objectifs sont l'émancipation, le bien-être et l'épanouissement individuels et collectifs dans la simplicité volontaire ? Et par conséquent, l'audace de proposer à des individus, des associations, des collectifs, des réseaux, informels ou organisés, une plate-forme pour définir les contours de notre démarche, pour s'ouvrir à toutes celles et ceux qui pourraient s'y retrouver pour la construire ensemble, pour bâtir d'autres mondes écologiquement et socialement responsables, humainement décents et démocratiques.
La société de croissance accumule dramatiquement toutes les crises : énergétique, environnementale, sociale, économique, culturelle, politique. Mais il s'agit au fond d'un seul et même égarement : un monde devenu inhumain, comme si la croyance du « toujours plus » suffisait à donner du sens.
Face à la radicalité de ces « crises », nous opposons une autre cohérence : celle des sorties immédiates du capitalisme et de tout productivisme par toutes les alternatives concrètes de vie déjà existantes et à créer. Cette cohérence est notre radicalité . Nous ne voulons pas d'un autre développement, d'une autre croissance, d'une autre consommation, d'un autre productivisme. Nous voulons sortir de la religion de la croissance qui accroît les inégalités, qui dévore les ressources, qui épuise le vivant, qui confisque la dignité des humains.
Même si une croissance infinie dans un monde fini était possible, elle resterait absurde. Comment ouvrir des chemins vers d'autres mondes ?

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Face à la stratégie classique de la prise de pouvoir préalable à tous changements, nous opposons la radicalité et la cohérence d'une Stratégie de l'Escargot.
La Décroissance ne doit pas seulement être le but d'un tel projet mais aussi son chemin et sa méthode. La stratégie politique de la Décroissance est une stratégie de rupture, et non pas d'accompagnement : cette stratégie de l'escargot , implique d'abord d'avoir abandonné l'illusion qu'il suffirait d'une prise préalable de pouvoir – qu'elle soit réformiste ou révolutionnaire – pour changer le monde. Nous ne voulons pas « prendre le pouvoir » mais agir contre les dominations en affaiblissant les pouvoirs ; et créer sans attendre les conditions de la maîtrise du sens de nos vie.
Notre rejet des chemins absurdes de la mondialisation marchande ne doit pas pour autant nous entraîner dans les impasses des replis individualistes ou isolationnistes. C'est pour cela que l'Association des Objecteurs de Croissance (AdOC) entend apparaître en politique en s'engageant dans toutes les dimensions de l'émancipation individuelle et sociale par l'action politique, sans en sacrifier aucune :
- Celle de la présence non-électoraliste dans le champ politique classique : par les manifestations, les pétitions, les campagnes électorales, des élus, des soutiens critiques et ponctuels à des majorités, pour permettre des avancées et la pérennisation d'expérimentations sociales, écologiques et politiques.
-Celle des expériences et des sorties immédiates du capitalisme : par les alternatives concrètes et les contres-pouvoirs.
- Celle du projet : par les uto-pistes mises en cohérence.

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Pour ne pas réduire notre résistance à des oppositions, repolitisons la société et resocialisons la politique.
S'il ne suffit pas de résister mais qu'il faut aussi créer en inscrivant des propositions dans une plate-forme qui fait démarrer localement le global, nous proposons une Décroissance sereine et conviviale :
- Au cœur de notre projet, les relocalisations : habiter, se déplacer, fabriquer, distribuer, échanger, décider. Elles sont pour les Objecteurs de Croissance les seuls trajets ayant du sens pour retrouver la maîtrise de nos usages, ménager le territoire, nous réapproprier nos modes de vie et mettre en partage les Biens communs.
- L'encouragement et la légalisation des monnaies locales et autres systèmes d'échanges locaux non spéculatifs.
-Pour permettre l'activité choisie et la fin du travail contraint : une dotation inconditionnelle d'autonomie (DIA).
- Un revenu maximum autorisé (RMA) dont l'écart est démocratiquement discuté.
- La gratuité des services publics et des usages reconnus socialement utiles et écologiquement responsables.
-La gratuité du bon usage de l'eau, de la terre, de toutes les ressources « de haute nécessité » et le renchérissement ou la prohibition du mésusage.
- La sortie de la société de surconsommation, de concentration et de gâchis énergétiques : de la menace destructrice du nucléaire jusqu'à l'automobile.
- Le renoncement au culte de la technique qui impose une société des écrans et des biens à la place d'une société des liens, ceux de la solidarité par la coopération et le partage.
- Emanciper l'éducation et les cultures des modèles de la compétition et de la concurrence.
- La mise en oeuvre de la démocratie : en finir avec les conditionnements médiatiques et publicitaires, opérer des choix collectifs pour les orientations économiques, relocaliser les contrôles démocratiques, mettre en place des garde-fous pour ne pas être pris par le pouvoir (mandats électoraux courts, non cumulables et révocables, monopole des représentants du peuple sur l'élaboration des lois, droits de vote effectivement universels).

Pour continuer la construction de cette plate-forme…

Beaugency, le 19 septembre 2009.


To be politique, or not to be politique ?
vendredi 30 janvier 2009

Un parti pour la Décroissance, ne peut pas fonctionner sur les mêmes modèles que les autres partis. !!

Un parti politique qui propose un mode de pensée (un paradigme pour faire court) aussi différent que la Décroissance, ne peut pas fonctionner sur les mêmes modèles que les autres partis.
Nous considérons que toute personne qui s’interroge sur les manières de vivre ensemble, s'engage, de fait, dans la politique. Nous pensons qu’il serait absurde de s’interdire d’utiliser tous les outils à notre disposition pour colporter la Décroissance. La "politique" en fait partie.
Mais, répétons-le, un parti qui propose un schéma de pensée aussi différent, ne peut que proposer un fonctionnement interne différent.

Où est l'immobilisme ?.

Ce sont ceux qui nous interpellent sur les « d’encartés », les « appareils politiques », les « tous pourris », ou « démarches inutiles », qui fonctionnent sur les mêmes vieux modèles qu’ils dénoncent. Ce sont eux qui campent sur leurs modes de pensée.
Où est l'immobilismes ?
Chez ceux qui s'arcboutent sur un refus d'engagement, ou chez ceux qui investissent le champs politique en cherchant à réinventer le "truc" ?

Imaginons !

Quelqu’un qui à la lucidité de penser la Décroissance (restons modeste), doit être capable de croire à d’autres fonctionnements politiques.
Il ne faut pas avoir peur d’imaginer d’autres Politiques. C’est à nous de le faire, c’est à nous de la prendre en main.

Tout est possible !
Tous les mélanges sont possibles, du moment que les idées de fond sont partagées : peu importe les encartements, les choix d'actions. Nous avons tous à nous apporter mutuellement. Nous sommes complémentaires. Rejoignez nous, avec ou sans carte, avec ou sans étiquette !

Pourquoi faire de la politique ?
lundi 22 décembre 2008

Confiscation et le anéantissement de la fonction politique !!
On nous présente « l’économie » comme quelque chose de naturel. Lorsqu’il y a « crise », la seule solution qui parait naturelle est d’essayer de guérir ce "grand corps malade" avec des médicaments et des pansements.
Or, la crise dite « économique » est plus profonde. Il s’agit de la confiscation et de l'anéantissement de la fonction politique. La crise, c’est tous les mécanismes d’une « dictature insidieuse » qui interdit de remettre en cause la « grande machine capitaliste », présentée comme LA loi naturelle !
la prise de conscience populaire va venir par la nature.

Le sentiment d’injustice, la prise de conscience populaire et locale vont venir par la nature qui souffre, c’est à dire par le péril écologique.


Ecoutez donc l'original, c’est beaucoup mieux dit !

Marie-José Mondzain, présente un diagnostique idéal de la situation, pour l’objecteur de croissance qui prétend s’engager dans la voie de la « Décroissance politique ». L’analyse est très fine et pertinente, tout en restant assez ouverte pour que d’autres propositions s’appuient dessus.


Le futur grand parti de gauche sera décroissant
lundi 21 avril 2008

Soyons lucide !!
Un jour, il faudra reconnaître que le seul système qui soit vraiment efficace dans une société de croissance, c'est le capitalisme. Or, ce capitalisme nous mène droit dans le mur. Ce qui signifie que tous les partis dits de gauche qui gardent cet objectif de croissance nous mènent droit dans le mur aussi. En effet, il ne font que de simples arrangements avec le capitalisme... Ils sont de droite.
Il n’y a que la décroissance qui ne court pas après les rêves de droite.

Ce n'est pas une activité qui ne serait choisie que par les écologistes, comme peut l'être la philatélie par les collectionneurs. La philatélie n'engage que les philatélistes.

L'écologie concerne tout le monde, même ceux qui sont contre.

Le futur vrai grand parti de gauche sera un parti de la décroissance. Et il sera international. ça urge !!!

 

Un économiste n'est pas un politique !

Le rôle de la politique est de définir démocratiquement des objectifs. Une fois qu'ils sont définis, c’est aux techniciens de nous proposer des outils pour réaliser ces objectifs. C’est le rôle des économistes et des énarques (école d’administration). Il faut bien qu’ils servent à quelque chose, ces gens là, mais pas à faire de la politique !!!



 

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