Abonnez-vous et retrouver "de l'eau à mon moulin" sur :
site : http://magazinedeleauamonmoulin.blogspot.com/
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L’association De l’eau à mon moulin propose un magazine alternatif mensuel destiné aux enfants de 5 à 8 ans. Il se veut force de propositions alternatives à la société de consommation.

Nous attachons notamment une grande attention à la cohérence éthique et écologique, dans tous les aspects du projet.

Le magazine : Il comporte plusieurs rubriques à lire ou à réaliser en famille et soucieuses d’apporter des alternatives à la société de consommation. Une histoire illustrée, une bande dessinée, un reportage ou dossier, Comment ça marche ? (La description du fonctionnement d’un objet du quotidien), des activités, à toi de jouer ! (Des jeux traditionnels, du monde, d’expression…), une expérience de découverte scientifique, un agenda « C’est de saison ! »

Le premier numéro sortira en AVRIL 2011.

Afin de pouvoir éditer les premiers numéros, nous lançons aujourd’hui une souscription d’abonnement (ici)

Plus d’info sur notre Blog : http://magazinedeleauamonmoulin.blogspot.com/....

Pétition : http://www.overpacking.eu/

Samedi dernier, une action a eu lieu dans un hypermarché de la région havraise : nous avons vidé le rayon thé Lipton et amené le tout à la caisse centrale pour demander à la direction de ne plus distribuer cette marque. Pourquoi ?

Parce qu’une usine de plus est menacée de fermeture : FRALIB GENEMOS qui fabrique les sachets de thé Lipton.

Ce n’est pas une surprise mais la suite logique d’une destruction organisée de nos acquis et de nos emplois dans le seul but d’enrichir une minorité et d’appauvrir une majorité.

Dans les manifestations, on punit les casseurs et les pilleurs. On interdit les cagoules qui dissimulent les visages. Et pourtant ces manifestants luttent contre les multinationales comme UNILEVER qui cassent nos vies, nos emplois et pillent la planète en se dissimulant derrière une cagoule d’actionnaires et cette fois en toute impunité, pire avec le soutien de nos élus.

Il est grand temps d’arrêter de confier notre avenir aux organisations officielles qui ne peuvent s’opposer au système puisqu’elles en dépendent. Reprenons nos vies en main, créons nos solutions.

Nous encourageons vivement les salariés de l’usine FRALIB Gémenos à reprendre possession de leur outil de travail pour imaginer un projet respectueux de l’Homme et de la terre où l’exploitation n’aura pas sa place.

Les escargots cauchois

Plus d’informations :
http://www.lepost.fr/article/2011/01/29/2387269_le-havre-solidarite-avec-les-fralib-et-meeting-europeen-de-resistance.html
http://decroissance.lehavre.free.fr/#thes
http://cgt.fralibvivra.over-blog.com/

....

de la pars d'Ecologie Pour Le Havre http://www.ecologiepourlehavre.fr/

Dix ans de lutte pour que cette entreprise obéisse aux mêmes lois que les autres, ne bénéficie pas d'indulgences scandaleuses qui ont pour résultat la fermeture d'un site hyper pollué et la mise au chômage d'une centaine de personnes dont on ne connaît pas les atteintes sanitaires. Combien de fois sommes nous allés au tribunal pour non respect de la législation sur les installations classées ? Souvent et nous avons toujours gagné ! Combien de mises en demeures, dePV ?

Cette triste affaire est une énigme pour nous. La seule chose que faisait bien cette entreprise était la communication : Elle recyclait les piles : moins de 7 % de son activité !

Nous étions de mauvais écologistes qui préférions l'enfouissement au retraitement. En effet, parce que leur retraitement était très mal fait et entraînait une pollution grave de l'eau, du sol et de l'air.

Pour en savoir plus, taper "citron" dans le moteur de recherche http://www.ecologiepourlehavre.fr/

Les voeux d'Ecologie Pour Le Havre http://www.ecologiepourlehavre.fr/

Décryptons la carte :

Le futur grand stade : un désastre écologique qui ne se limite pas à la seule destruction illégale de l'habitat protégé de l'emblèmatique lézard des murailles ! Un inventaire faune flore a été fait mais le terrain a été dévasté sans ménagement et toute vie en a momentanément disparu ! Une dérogation a été accordée par le conservatoire national de la protection de la nature, qui impose des mesures compensatoires sévères et coûteuses. Quelle sera leur efficacité ?

CITRON : dix ans de lutte pour que cette entreprise obéisse aux mêmes lois que les autres, [...]. Combien de fois sommes nous allés au tribunal pour non respect de la législation sur les installations classées ? Souvent et nous avons toujours gagné ! Combien de mises en demeures, dePV ? Cette triste affaire est une énigme pour nous. [...]

Des portiques ! On passe du statut de PAH à GPMH et voilà deux portiques à vendre. Nous ne connaissons pas le prix.

Pétition : http://www.overpacking.eu/

Aujourd’hui, j’apprends que le 28 septembre dernier, le groupe Unilever a annoncé son projet de fermeture de l’usine FRALIB située à Gémenos. Une cinquantaine de copain-ines HavraisEs y travaillent depuis une dizaine d’années suite à une délocalisation de l’usine du Havre.

Et une question me vient : unE objecteurICE de croissance peut-il-elle se réjouir d’une telle nouvelle ? Cette entreprise fabrique d’immondes sachets de thé. Un vrai symbole de notre société de consommation : ils sont conçus pour infuser vite, d’un goût standardisé et producteurs de déchets.

Mon sentiment devrait être «super, une usine à merde en moins» et bien non !! Être objecteur de croissance pour moi, c’est avant tout être contre le capitalisme. Je suis solidaire avec tous les exploités de ce système.

Je ne suis pas contre l’industrialisation, ni le progrès mais contre l’utilisation qui en est faite par le capitalisme. Les technologies ne sont plus au service de l’homme mais des exploiteurs.

Aujourd’hui, alors que les fermetures d’usines et les restructurations s’abattent à un rythme effréné, alors que le productivisme et le culte de la croissance nous conduisent à notre perte, il faut plus que jamais nous réapproprier nos outils de travail et les technologies.

Puisque l’on recherche un entrepreneur pour cette usine, j’invite touTEs ces salariéEs à se porter candidatE. Je suis sûr qu’avec leur connaissance et expérience, ils-elles peuvent proposer un produit bien plus respectueux de l’environnement dans une organisation non hiérarchisée qui laisse la place à la créativité et aux savoirs-faire de chaque individu, tout en respectant l’Homme et son environnement.

Dans ce cadre et pour les soutenir, je vous invite à signer cette pétition : http://8938.lapetition.be/

Et opter pour le boycott du sachet de thé (essayer le vrac, c’est l’adopter) : http://cgt.fralibvivra.over-blog.com/

@v Franck @v

Textes très inspirés de ces sources : Le Monde libertaire, Haute-Normandie Décroissance
http://www.voie-militante.com/politique/social/salariees-en-lutte-et-decroissance/ ....

Pétition : http://www.overpacking.eu/

Ai-je le droit de laisser les emballages au supermarché ?

Oui, le consommateur opposé au suremballage peut laisser aux caisses de son supermarché, s'il le souhaite, les emballages qu'il juge inutiles, explique Jérôme Bédier, président de la Fédération du commerce et de la distribution (FCD). Une position exprimée au nom de la satisfaction-client. Il s'inquiète néanmoins des problèmes « pratiques » qui surviendraient si un tel réflexe se généralisait. (Voir la vidéo et lire la source)

Suremballage laissé à la caisse
envoyé par rue89. - L'info video en direct.

Existant ailleurs en Europe, l'abandon des emballages superflus en sortie de caisse n'est pas une habitude française. Quelques expérimentations existent au sein de différentes enseignes (Carrefour, Auchan, Système U, Casino). Jérôme Bédier :

« On voit comment on peut faire sans que cela devienne ingérable pour le magasin. L'axe sur lequel nous travaillons est de cibler certains déchets d'emballage, comme les boîtes d'aluminium pour lesquelles il peut y avoir une valorisation assez importante. Nous testons des récupérateurs automatiques. »

Mais le président de la FCD insiste sur l'aspect expérimental de ces initiatives :

« Nous le disons de façon très nette : il ne faut pas que le magasin devienne un lieu de collecte des déchets. »

Le Sénat a pourtant adopté un amendement au projet de loi « Grenelle II », actuellement en navette entre Sénat et Assemblée, qui vise à institutionnaliser la collecte en grandes surfaces à travers des plates-formes dédiées. Vent debout contre cette éventualité, la FCD a déjà obtenu le relèvement du seuil des magasins concernés, de 500 à 2 500 m2. Mais elle déplore qu'un amendement ait instauré cette mesure « qui avait été écartée des conclusions du Grenelle », rappelle Jérôme Bédier, et ne désespère pas d'en obtenir l'abandon.

Jérôme Bédier : « Au final, tout est payé par le consommateur »

L'argument de la FCD est qu'il vaut mieux prendre le problème du suremballage à la source. Il rejoint celui des environnementalistes. Pour le Centre national d'information indépendante sur les déchets (Cniid), qui soutient depuis 1993 des opérations ponctuelles de déballage dans les supermarchés (voir la fiche pratique destinée aux associations), « le principal avantage des plates-formes de déballage est de permettre la sensibilisation du public ».

Wiebke Winkler, chargée de mission « réduction des déchets » au Cniid :

« La grosse inconnue qui demeure en cas de déploiement de plates-formes de déballage est de savoir ce que fera le magasin des déchets collectés : les transfèrera-t-il dans un circuit de collecte préexistant, où les intégrera-t-il dans son flux de déchets internes ? Cette dernière solution paraît la plus cohérente. »

Sur ce point, la FCD craint que la création d'une nouvelle filière n'entraîne des coûts nouveaux, tout en « désoptimisant » les filières de collecte déjà existantes. « Plus on crée de nouveaux circuits, de nouvelles filières, plus ça rajoute des coûts », rappelle Jérôme Bédier. « Et au final, tout est payé par le consommateur. »